Du cinquante sixième étage d’une très haute tour en verre,
Érigée à l’endroit d’une ancienne gare de chemin de fer,
J’ai une très belle vue panoramique.
Je vois la ville, en rond, en large et en travers,
J’ai une vue magnifique.
Je vois des pâtés d’immeubles en pierres
Entrecoupés de boulevards, d’avenues et
grandes rues
De la ville elles sont les artères,
Sans oublier les impasses et les petites rues.
Madame la Tour, élancée dans le ciel,
Campées sur ses quatre fers,
L’ Arche de l’Etoile posée sur un soleil
Dont les rayons sont de la ville les plus belles avenues.
Je vois des parcs, des jardins et des espaces verts
Des dômes, des coupoles et des
clochers,
Une grande place et son obélisque
Et celle de célèbres bijoutiers.
Je vois une butte qui a elle seule est tout un quartier
Une autre tout en vert.
La Cathédrale et ses tours carrées,
Sa traîne de pierre dentelée,
Et des monuments historiques
Au loin, les tours de verres
Du quartier des affaires,
Et en périphérie, des bois dont celui de Vincennes.
Sous des ponts et des passerelles
Coulent les méandres de la Seine
Entre rive gauche et l’autre
rive
Dieu ! Que la ville est belle !
De ce spectacle je suis captive.
Ça c’est Paris !
!
Photo prise sur le net
Texte copyright
Ça c’est Paris !
Paris est une Blonde ;
Paris sera toujours Paris,
Reine et la plus belle ville du Monde.!
Photo prise sur le net
Texte copyright
Du jardin à la ville...tu es très inspirée ce matin!
RépondreSupprimerMerci pour ton poème que je viens d'ajouter sur "Vaporeux"
ça c'est Paris!
RépondreSupprimerun très beau poème pour la ville chère à ton cœur.
Mon mari né rue Notre Dame des Champs a vécu à Paris pendant 24 ans... avant d'être nommé en Bretagne (à sa demande) il est souvent nostalgique de Paris. Quand il soupire en voyant à la télé des vues de Paris, je me dis qu'il faut qu'on y aille.
Bonjour
RépondreSupprimerParis ne me fait pas rêver... enfin le côté touristique à proprement dit... les petites rues, les échoppes, les bouquinistes, oui mais la tour Eiffel pas vraiment. Ce n'est que de la ferraille :)
Bises
je me rappelle avoir vu Paris depuis la tour Montparnasse. J'adore ce quartier tant décrié. Les voitures qui passent en dessous. Laissant libre de* jardins *, le dessus au pieds des grattes ciels de verre.De là visuellement jusqu'au Trocadéro, la Tour Effel ! je descent de mon nuages et, au lieux de prendre le métro, je marche, je marche... une station de métro qu'à cela ne tienne, je marche. Une autre station de métro... je la dépasse... je marche.
RépondreSupprimerJ'ai tout mon temps !
Naître et grandir à Paris c'est tisser définitivement des liens de coeur ! Bravo pour ton poème en l'honneur de ta Ville !
RépondreSupprimerJ'avais l'impression que cette tour et son phare me protégeait quand j'étais jeune à Paris ! y retournerais-je ? j'en doute !
RépondreSupprimertrès joli !Même si je ne m'y rends que très rarement,j'adore Paris,alors je trouve que tu la valorises à souhait avec ce poème!Bravo !
RépondreSupprimerK............
Paris, pour moi c'est tout d'abord le métro. Il a fasciné mon inconscient, au point de rêver une fête foraine avec tout plein de manèges virevoltants dans ses larges couloirs illuminés. J'avais 4 ans quand j'ai rêvé ça et j'étais furieuse quand le réveil à sonné !).
RépondreSupprimerLa tour Montparnasse, je ne suis jamais montée au 56e.
Mais j'ai travaillé un temps au 36e. Quand je pense que c'était bourré d'amiante, j'en ai des sueurs froides !