Roxane a trente ans. C’est une jolie brunette au cœur à prendre. En cette soirée de Noël, elle est seule et son âme de jeune femme épanouie pleure la solitude de son cœur et celle de son corps. Un jour Roxane fit la connaissance d’un homme qu’elle croyait être celui de sa vie. C’était un bel homme, un beau brun, mais, par malchance, seulement un joli cœur.
Il emménagea rapidement dans la petite maison de Roxane dans la banlieue proche de Paris, maison dont elle a héritée de ses parents, décédés tous les deux dans un terrible accident de la route. Bruno, tel est son nom, est sans emploi quand il s’installe chez Roxane, il fait partie de ces gens qui ne courent pas après le travail, bien qu’il disait à Roxane tout faire pour en trouver. Roxane assumait tout financièrement dans le ménage, Bruno avait droit à de l’argent de poche, nécessaire, lui disait-il à sa recherche d’un emploi. Cela ne semblait pas perturber Roxane pour autant, elle était amoureuse. Quand même, au bout d’un certain temps, Roxane commença à perdre patience, Bruno étant toujours sans travail et ne s’investissant pas beaucoup dans les tâches ménagères. Une dispute éclata donc, puis une autre, et puis, quand à une énième discussion assez houleuse Roxane annonça à Bruno qu’elle lui coupait les vivres, il prit ses affaires et s’en alla. Roxane n’essaya pas de le retenir. Elle comprit que ce qui l’intéressait en elle, c’était le confort et l’argent qu’elle lui apportait. Cette séparation intervint une semaine avant Noël.
Roxane est fille unique et le peu de famille qui lui reste, cousins et cousines, est installé soit dans le nord, soit dans le midi. De ses deux meilleures amies, l’une demeure à deux cents kilomètres de chez elle, et l’autre, par delà l’Océan Atlantique.
Habillée d’un maxi tee-shirt couleur rose Indien, d’un caleçon gris chiné et les pieds bien au chaud dans de grosses chaussettes, Roxane, est seule, désespérément seule. Toutefois, en revenant de son travail, elle est passée chez son charcutier traiteur afin de se faire un dîner de réveillon de Noël en tête à tête avec elle-même. Au menu : cassolette de coquilles Saint-Jacques à la Dieppoise, pavé de biche sauce grand veneur, le tout arrosé d’une fillette de bulles roses.
En fait l’autre tête qui l’accompagne en cette soirée particulière, est sa télévision. Elle avait le choix entre une histoire d’amour, belle et émouvante qui lui aurait certainement tiré les larmes des yeux et lui aurait fichu le bourdon, ou un moment de franche rigolade ; elle choisit ce dernier. Elle regarde une pièce de théâtre célèbre « Le Père Noël est une ordure ».
Elle déguste sa cassolette de coquilles Saint-Jacques, assise confortablement dans son fauteuil face à son écran, à côté de son sapin décoré avec goût et bien que malgré cette solitude pesante, elle rit de bon cœur en voyant la scène du gilet tricoté par Thérèse.
Soudain la sonnette de sa porte d’entrée retentit. Drinng ! Drinnng ! Avec insistance. Qui peut bien venir chez elle à cette heure, un soir de Noël. Méfiante, avant d’ouvrir la porte, elle demande qui est là. Une voix d’homme lui répond :
-- Je suis en panne d’essence et je dois me rendre chez des amis pour réveillonner.
Elle entrebâille la porte et dit :
-- Que voulez-vous que j’y fasse ?
-- Me donner un peu d’essence pour pouvoir continuer ma route.
-- Essence ou gasoil ?
-- Essence !
-- Vous tomber très mal, je roule au gasoil.
-- Pouvez-vous m’emmener dans une station essence avec un jerrican ?
-- Je n’ai pas de jerrican.
Le froid se faisant sentir, Roxane invite l’homme à entrer dans la maison, tout en tant sur ses gardes.
-- Vos amis habitent où ?
-- A une vingtaine de kilomètres d’ici.
-- Demandez à l’un d’eux de venir vous chercher ? Avec un jerrican. Sur le chemin, c’est bien le diable s’il ne trouve pas une station 24H/24H.
-- Vous êtes seule, ce soir ?
-- Oui et alors !
-- Pour animer votre soirée, vous pourriez peut-être m’emmener ?
-- Ben ça alors ! Vous ne manquez pas d’air ! Je me suis concocté une soirée sympa entre ma télé, mon repas et moi. Téléphoner qu’on vienne vous chercher ou prenez un taxi. Quand on est invité à arriver à une certaine heure, on se débrouille de partir à temps et surtout de ne pas oublier que sa voiture a soif.
Sur ce, l’homme, un peu dépité, sort de la maison en claquant la porte.
Roxane retourne à ses coquilles Saint-Jacques et à sa télé. Puis elle se dit, la Mère Noëlle n’est pas une ordure, mais là je ne suis pas franchement sympa. Vingt kilomètres, c’est vite fait, même aller et retour. Elle court à sa porte, l’ouvre et interpelle le naufragé de Noël qui est en train de téléphoner.
-- Bon allez, je vous emmène !
-- Vous êtes super sympa !
Roxane quitte ses grosses chaussettes qu’elle remplace par des baskets, prend son sac et ses clés de voiture.
En chemin elle dit à son compagnon de route :
-- Vous demanderez un jerrican à votre ami afin que vous puissiez prendre de l’essence quand il vous ramènera demain matin.
-- Vous auriez peut-être pu rester réveillonner avec nous.
-- Non, je vous dépose et je rentre. Déjà que vous m’avez bousillé ma soirée, je voudrais quand même finir mes coquilles Saint Jacques et manger mon pavé de biche.
Arrivés à destination, elle largue son passager sur le trottoir et repart en trombe.
Une fois de retour, elle réchauffe sa cassolette et regarde la fin de la pièce de théâtre, puis réchauffe son pavé de biche. Le film qui suit est « Coup de foudre à Notthing Hill ». Roxane adore ce film. L’écran est illuminé par le sourire de l’héroïne et elle est séduite, à chaque fois, par les yeux bleus en toit de chalet de l’amoureux transit.
Elle va se coucher la larme à l’œil en faisant le vœu qu’un jour, elle aussi, elle rencontre enfin l’amour, le grand, le vrai et surtout le sincère.
Le lendemain matin, onze heures trente, Quelqu’un sonne à sa porte.
Elle va ouvrir :
-- Encore vous !
-- Je viens récupérer ma voiture et je voulais vous remercier de m’avoir permis de passer un bon réveillon.
-- De rien. J’ai fait ma béa de Noël. Telle l’Armée du Salut, j’ai donné un peu de bonheur à quelqu’un, et pour tout vous dire, ça fait du bien.
-- Que faîtes-vous aujourd’hui ?
-- Rien de spécial, comme hier soir. Je vais aller faire un tour en ville, faire quelques courses pour le déjeuner. Et puis, j’ai un ouvrage en cours, qui va m’occuper les doigts une partie de l’après-midi.
-- Vous voulez m’accompagner chez mes parents ?
-- Non, non ! Faîtes Noël en famille. Ne vous préoccupez pas de moi, il faut bien que je m’ habitue à la solitude.
-- Vous vivez seule ?
-- Oui, depuis peu, depuis que j’ai viré mon mec.
-- Ah bon !
-- Un fainéant et un gigolo de surcroît.
-- Je vois.
-- Vous faîtes quoi dans la vie ?
-- Je travaille dans une banque.
-- Et vous vous appelez ?
-- Roxane.
-- Quel joli nom !
--En fait, ce n’est pas mon vrai prénom, je m’appelle Noëlle. Tout le monde m’appelait la mère Noëlle et j’avais cela en horreur. J’ai donc pris un pseudo en référence au personnage féminin de Cyrano de Bergerac. En plus, c’est un prénom peu courant. Et vous ?
-- Nicolas.
En souriant, Roxane lui dit :
-- Vous avez du avoir droit à Saint Nicolas, vous ?
-- Non.
Et Roxane de continuer :
-- C’est marrant ça, un jour de Noël, une rencontre entre Saint Nicolas et la Mère Noëlle.
-- Oui et si vous connaissiez mon second prénom, vous seriez encore plus étonnée.
-- Ah bon ! Et c’est quoi ?
-- Christian.
-- Alors là ! Nous étions faits pour nous rencontrer. Où en étions nous ?
-- C’est sûr, vous ne voulez pas venir avec moi ? Cela pourrait être sympa.
Le côté chien battu de Nicolas émeut quelque peu Roxane, étonnée elle-même, elle s’entend dire :
-- C’est OK.
-- C’est OK.
-- Mais que vont dire vos parents ?
-- Ils sont déjà au courant.
-- Et si j’avais dis non ?
-- Je les aurais remis au courant.
-- C’est loin ? Lança Roxane en s’éloignant pour aller se changer.
Quand elle sort de sa salle de bains, elle est magnifique dans sa jolie robe courte, grise et pailletée sur des leggings noirs dont le bas des jambières est bordé d’une petite dentelle. Elle s’est fait un chignon un peu désordonné qui lui va à ravir.
Nicolas en reste pantois, bouche bée, les yeux écarquillés : il balbutie :
-- Que vous êtes belle !
-- Merci, et pour tout vous dire, vous n’êtes pas mal non plus.
Je devais avoir de la merde dans les yeux hier soir. Vous avez un côté Mac Queen que j‘aime bien. On y va ! On prend votre voiture ou la mienne .
-- La mienne.
-- Vous avez fait le plein ?
-- Oui.
-- Alors, allons y !
Les Parents de Nicolas habitent à seulement dix kilomètres de chez Roxane. La route sera vite faite.
-- On passera acheter des fleurs pour ma Mère et une bouteille pour mon Père.
Là, un frisson traverse Roxane. Elle se dit, c’est qui, ON ? Cela ne va pas recommencer, non !
-- Il faut se presser, dit-elle, avant que les magasins ferment.
Nicolas achètera une bouteille d’un excellent Bordeaux et Roxane les fleurs.
Après seulement quelques kilomètres, la voiture de Nicolas tousse. Le moteur éternue, il a des soubresauts, il s’étouffe et s’arrête.
-- Tiens, on ne m’avait jamais encore fait le coup de la panne. Vous êtes sûr d’avoir fait le plein ?
-- Ben oui !
-- Vous ne vous êtes pas trompés de carburant des fois ?
-- Ben non !
-- Vous avez une assistance ?
-- Je crois.
-- Comment ça vous croyez, faudrait peut-être en être sûr !
-- Votre assureur a du vous donner une carte ou autre chose, je ne sais pas moi !
-- Ne vous fâchez pas Roxane.
-- Je ne me fâche pas, mais vous avouerez que vous les collectionnez.
-- On aurait du prendre la vôtre.
-- En fait, on aurait du prendre chacun la nôtre. Cela vous aurait éviter de me ramener et d’une, et de deux, d’arriver à bon port. Nous avons deux solutions, soit nous faisons du stop pour aller chez vos Parents, soit pour aller chez moi prendre ma voiture.
-- Je suis en train de penser que j’ai effectivement une assistance mais j’ai une franchise de 50 kilomètres.
-- Cela existe encore, ça !
-- Faut croire !
-- Bon, que fait-on ? Parce que pour avoir un dépanneur un jour de Noël, ce n’est pas gagné. Vous devriez prévenir vos Parents qu’on va être en retard.
Nicolas appelle pour expliquer leur situation.
Le problème est qu’à cette heure-là, au moment du repas de Noël, tout le monde est à table et personne n’est en voiture. Le temps passe et Nicolas rappelle ses Parents :
-- Commencez sans nous.
Roxane est furieuse mais elle ne le montre pas. Nicolas est très gêné mais il ne le montre pas non plus.
-- Et si on appelait un taxi ! Lança Nicolas.
-- Mais faites donc ! Répondit Roxane, agacée.
Au bout du portable de Nicolas, une voix féminine lui indique une attente d’environ 1 demie heure.
-- Les choses s’arrangent. C’est foutu pour la bouteille et les fleurs.
-- Ce n’est pas très important, mais j’ai peur que les huîtres attrapent chaud et que la dinde soit brûlée.
Roxane pense que c’est une situation assez cocasse et que ce n’est pas une catastrophe non plus. Entre la soirée d’hier et cette panne inattendue, cela met du piment dans sa vie.
En souriant, Roxane dit :
--Dîtes à votre Père de remettre les huîtres au frais et à votre Mère d’éteindre le four. Quel Noël ! Et ils pouffent de rire tous les deux.
Roxane et Nicolas se racontent leur vie respective pour passer le temps. Il fait de plus en plus froid dans la voiture, et le taxi n’arrive pas.
-- Puisque que le taxi n’arrive pas et qu’il n’y a pas une voiture qui passe, nous avons deux solutions, soit faire cinq kilomètres à pieds pour aller chez vos Parents, soit la même chose en sens inverse pour aller chez moi, ironise Roxane.
-- Faut penser positif, Roxane, le taxi va bien finir par arriver.
Bien que contrariée par cette panne intempestive, Roxane se sent très attirée par Nicolas « Mac Queen » et réciproquement : Nicolas trouve Roxane très à son goût. Ils sont tous les deux des naufragés de l’amour. Nicolas n’a toujours pas trouvé l’âme soeur. Ils sont attirés l’un vers l’autre et sur le point de se donner leur premier baiser, le taxi arrive.
Ils embarquent à bord direction chez Roxane au neuf de la rue de Paris. Ils sautent dans sa voiture et filent chez les Parents de Nicolas.
Toc ! Toc !
-- C’est nous !
-- Ah, enfin ! Cela fait la deuxième fois que tu nous fais le coup.
Tu es incorrigible.
-- Mille excuses, Maman.
-- Bonjour Mademoiselle. Enchantée de vous connaître.
-- Elle s’appelle Roxane, Maman.
-- Dis moi, elle est ravissante et très élégante.
-- Oui, je sais.
Le Père :
-- Bonjour Fils, bonjour Mademoiselle.
-- Elle s’appelle Roxane, Papa.
-- Oui, j ai entendu. Bon, c’est bien joli tout ça, mais si on passait à table, j‘ai faim, moi !
Au cours du repas, on parla de choses et d’autres, de la vie de Roxane, de celle de Nicolas et surtout de son étourderie légendaire, de cuisine, de jardinage, de livres et d’art.
Elle apprend que Nicolas habite et travaille à Paris, il est informaticien. Roxane pensait passer un Noël seule et triste, il fut plein de tout ce qui fait que la vie est belle, en panne d’essence, en panne de moteur et même en panne d’amour.
L’après-midi tire à sa fin et Roxane doit rentrer chez elle. Elle remercie ses hôtes pour l’excellent repas qu’elle vient de faire et pour leur aimable accueil.
-- Revenez quand vous voulez, mon Enfant, fit la Mère de Nicolas.
Ce dernier raccompagne Roxane à sa voiture.
-- N’oublie pas de faire dépanner et réparer ta voiture.
-- Je rentre à Paris ce soir et m’en occuperais dès demain matin.
-- Et tu vas te rendre à Paris comment ?
-- Ce ne sera pas la première fois que je vais emprunter la voiture de Ma Mère, Elle a l’habitude.
Soudain, une grande tristesse se lit sur leur visage. Il faut se dire au revoir mais ils semblent comme aimantés l’un à l’autre. Ils ne savent plus quoi se dire.
Mais Roxane lance :
-- Dis moi, je ne travaille pas demain, tu veux que je t’emmène à Paris ?
-- Euh, oui !
Balbutie Nicolas, heureux comme un Saint Roi.
-- Je vais chercher mes affaires…
-- Dépêche toi Santa Claus, il se fait déjà très tard !
Les choses auraient été tout autrement si Nicolas, tête en l’air, avait fait le plein de sa voiture. Mais voilà, c'est Noël et ce Noël là n'est pas comme les autres, ni pour Roxane, ni pour Nicolas. Ils viennent de se faire mutuellement le plus beau cadeau que Noël ne leur a jamais apporté, car l'Amour est un des plus beaux cadeaux de la vie.
Quelle belle histoire, tu as vraiment de l'imagination,je ne serais pas capable d'en faire autant,tu aurais dû te faire écrivain
RépondreSupprimerA plus tard je pars pour 4 jours
Bisous*!*!*
La vie est ainsi, pleine d'imprévus. Quelle aventure.
RépondreSupprimer
RépondreSupprimerje savais que je courais vers une belle histoire d'amour !!! lol
des romans comme je lisais dans le temps dans les "nous deux " de ma grand mère et qui me faisaient rêver !!! j'aime toujours... lol
gros bisous et bon week end
MITOU
Un conte de Noël humoristique à la sauce"Claude", où l'on reconnaît quelques uns de tes "dadas"!
RépondreSupprimerLes fotos (sic) entrelardées donnent du piquant.
J'aime beaucoup la première, avec son air vieillot (tu l'as traitée ?) et le dessin aquarellé de la ouature.
@ Miss Yves
RépondreSupprimerJ'ai tout piqué sur internet.
Contente que mon histoire t'ait plu.
Je m'amuse beaucoup à écrire.
Après avoir regardé les images chez toi ce matin, je vais te lire.
et bien l'histoire est superbe tu as plus d'idées que moi CLAUDE
RépondreSupprimerBISOU
Oui c est une belle histoire qui commence. Maintenant , tu pourrais y accrocher un wagon supplémentaire sur leur vie amoureuse à Paris. J aime beaucoup la peinture sur la traction, puis je te l emprunter pour mettre dans "mes images". Je n ai pas l intention de l utiliser dans un article, peut étre un jour, mais rien n est moins sure. J ai 2000 images de voitures anciennes classées par année, marque ect.
RépondreSupprimerBonne soirée Claude
Latil
Je t'ai lu d'une traite, tu te débrouilles bien, Claude ! Je serais incapable d'inventer une histoire comme tu viens de le faire. D'accord avec Jean-Marc, c'est le début d'une histoire...Je suis sûre que la suite a déjà pris forme :-)
RépondreSupprimerPersonnellement, j'ai beaucoup de mal à lire un texte long sur ordi, et à plus forte raison un roman.
RépondreSupprimerJ'aime une position décontractée, sur un sofa , livre en main..
Wow! Je l'aime bien cette Roxanne, décidée, indépendante et , faut le dire, le coeur sur la main. Mais dis-moi Claude, quel chat t'a piqué pour écrire un si joli texte, tout coloré, rigolo, en pleine canicule de juillet?(Je parle pour nous ici au Québec avec un gros 37 degré des plus humides)
RépondreSupprimerEn plus, ce qui me fait sourire, ce sont vos expressions charmantes pour dire d'autres choses et que l'on comprend très bien...
Sincèrement, avec de bons et beaux personnages comme ça, je te dirais spontanément que j'aimerais vraiment entendre une suite à cette histoire!
Merci, merci beaucoup Claude pour plein de petits moments de sourires en lisant ce texte très inspiré xxx
@ Miss Yves
RépondreSupprimerTu as raison et puis avec un livre si tu t’arrêtes tu as ton marque page, sur l'ordi c'est plus difficile, mais je vais essayer de m'y tenir.
@ Nanou La Terre
J'ai écrit cette histoire dans les grandes lignes au début de l'année et au fil des mois je l'ai peaufinée. Je ne sais si j'écrirai un jour la suite mais j'ai d'autres histoires en réserve.
Merci beaucoup d'être passée me lire et je suis contente si tu y as pris plaisir.
Claude: en tout cas, c'est pratique pour les livres rares, voire introuvables et c'est le cas pour M de Camors que tu ne trouveras pas en édition courante!
RépondreSupprimerUne bien jolie histoire et qui fini bien en plus bravo.
RépondreSupprimerDe nos jours, le monde étant ce qu'il est, on hésite à prendre quelqu'un en voiture.....On passe peut-être à côté de belles histoires comme les tiennes !
RépondreSupprimerun beau conte de Noël !
RépondreSupprimerj'ai aussi une préférence pour la lecture "papier" comme MISS yves
bisous Claude
bravo Claude ! je suis cloué ! Cette histoire est fort touchante et pleine d'optimisme en la vie et en l'amour . celà commence durement pour la belle Roxane , en compagnie de ce gugusse qu'est Bruno . je me suis dit que le diner de Noel en solo allait etre d'un ennui et puis , hop ! retournement de situation avec la rencontre de Nicolas Mac Queen . Un très joli conte de Noel qui ferait un très bon film , je t'assure !
RépondreSupprimer