Fleur d'été et fleur des champs,
Reine des prés, grande ou petite,
Temps heureux,
Marguerite
Je t'aime un peu.
Ton compagnon, le gentil coquelicot
Chemise rouge passion en papier crépon
Et le coeur en gilet noir,
Duo bizarre, du coup,
Marguerite,
je t'aime beaucoup
Les amoureux t'effeuillent allongés dans les champs,
Tu as pour ami de blé les épis,
Jaune boléro, blanc tutu,
Rouge coquelicot et épis d'or,
Sur les talus ou dans les champs,
Marguerite
je t'aime passionnément.
S'est invitée une fleur couleur ciel d'été.
Blanc tutu, rouge coquelicot,
Bleu bleuet et jaune doré,
Vous enchantez les champ et les prés
Des couleur du Pays,
Marguerite,
Je t'aime à la folie.
Puis vient le temps de la moisson
et de la fin des beaux jours.
Les blés sont coupés, vient le temps des labours,
On ne te reverra qu'à la prochaine saison
Alors, là, et surtout,
Marguerite
Marguerite
Je ne t'aime pas du tout.
Copyright
(^‿^)❀
RépondreSupprimerMERCI chère Claude pour ce très beau poème que tu as écrit.
Il est dans l'air du temps, dans l'air de la saison, la saison des amoureux ! :o)
Encore merci pour ce partage et GROS BISOUS d'Asie jusque dans la Sarthe !
Merci de ta fidélité à ce blog, Nancy, j'apprécie beaucoup.
RépondreSupprimerBisous
C'est drôlement bien troussé ce petit poème charmant comme une ritournelle ou une ronde... Tu décris tout à fait bien en quelques fleurs et trois épis ce moment si agréable où l'été s'installe. Le motif des bleuets, marguerites et coquelicots associés au blé est courant en Alsace ou dans l'est de la France en broderie.
RépondreSupprimerMerci Lucie !
RépondreSupprimerC'est bien pensé cet ode à la marguerite, bravo.
RépondreSupprimerMerci Solange !
RépondreSupprimerc'est très beau
RépondreSupprimeren plus cette belle saison inspire
woauh tu me surprends
je te félicite pour ces dons innés
pleins de ti bo soleil
les prairie sont couvertes de pâquerettes qui n'ont jamais si bien portées leur nom !
RépondreSupprimereffeuillons les marguerites le temps passe si vite
bises Claude
Claude,
RépondreSupprimerce jour a été le plus vénéré et le plus solennel dans les 100 dernières années dans notre pays.
Votre poème m'a fait asseoir et réfléchir. Vos mots m'ont montré une lumière nouvelle.
Merci pour rester à côté de moi en ce moment avec votre sagesse et vos soins.
Je suis très reconnaissant et je tiens à vous les remerciements de mon cœur.
Demain est un autre jour et nous espérons que la guerre se retirer de nos horizons, à jamais.
Bien pensé, "bien troussé ",
RépondreSupprimerComme l'a écrit Cergie,
Du sens à plusieurs niveaux:
Pour ces mots et tes photos
Je m'écrie: Bravo! Bravo!
Três beau poême et três jolie photo,je pense à l'été et à ta mémé qui s'appelait MARGUERITE et qui était si gentille !*!*!*
RépondreSupprimer(^‿^)❀
RépondreSupprimerUn petit bonjour sur ce joli blog où j'aime lire tes poèmes !
GROS BISOUS à toi chère Claude
CLAUDE bonjour j'adore tes lignes et ces photos aussi
RépondreSupprimerla nature toute simple quel bonheur je trouve*
j'adore les Marguerites alors je vais les prendre en partant
bise CLAUDE
Chapeau, Claude ! pour ce très joli poème tricolore.
RépondreSupprimerSi les coquelicots font de la résistance, par contre on ne voit plus guère de bleuets dans les champs, ni au revers des vestons, et c'est bien dommage.
Quant à la marguerite, c'est une perle qui porte en son cœur d'or sa couronne de reine.
Un beau poëme bien mis en valeur par ces photos
RépondreSupprimerUne comptine en quelque sorte... la musique du bonheur se dégage de ce poème et on peut s'imaginer le bonheur qu'il fut de l'écrire.
RépondreSupprimerBelle journée
Bises
Merci pour ce joli texte suer l'effeuillage de la Marguerite , Claude . je l'aime pas qu'un peu mais ..beaucoup !
RépondreSupprimerQue du plaisir à l'effeuillage de ta comptine!
RépondreSupprimerMerci Thérèse !
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