Raphaëlle
est comédienne et plus particulièrement actrice de cinéma. Avant de rencontrer
l’homme de sa vie, elle la partageait entre plateaux, décors, extérieurs,
projecteurs et des aventures amoureuses sans lendemain.
Raphaëlle
n’est pas ce que qu’on peut appeler un canon de la beauté ni une fille super sexy, non, elle a une beauté
naturelle : de long cheveux châtains clairs, de beaux yeux verts, un petit
nez à la retroussette et une bouche assez sensuelle. Elle est juste belle, sans artifice ni
maquillage à outrance.
Raphaëlle
est très demandée par les producteurs et
metteurs en scène. Elle a du talent, gagne largement bien sa vie et habite un
très bel appartement à Paris. Raphaëlle à vingt huit ans.
Un jour de festival du cinéma, elle rencontre un homme dont elle tombe
immédiatement et éperdument amoureuse. Ce sera lui, et pas un autre autre. Lui
est charmé de suite par Raphaëlle ; il faut dire que ce jour là, elle est
particulièrement ravissante et très séduisante.
Ils
échangent quelques mots, et se donnent rendez-vous pour le dîner dans un petit
restaurant discret dans un endroit tout aussi discret. Ils se racontent leur vie et Raphaëlle,
complètement subjuguée, apprend que Guillaume est Prince. Prince d’une petite
Principauté située entre le Luxembourg et la France. Ce coup de foudre
réciproque les amènera à passer leur première nuit ensemble.
Le
lendemain matin, Raphaëlle doit se rendre de bonne heure sur les lieux du
tournage de son dernier film, loin de son Prince Charmant d’une nuit. Ils se
quittent donc très tristes en s’échangeant leur numéro de portable et en se
promettant de s’appeler le soir même.
Guillaume est très prisée par la gente féminine, il a
trente deux ans et est plutôt beau garçon. Un sourire enjôleur et une fossette au menton.
La
charge de son titre l’amène à se rendre partout dans le monde. Lui, tout comme Raphaëlle
de chez elle, est souvent absent de sa Principauté.
Le
soir venu, Raphaëlle, au lit, exténuée par sa journée de tournage, appelle
Guillaume, mais celui-ci ne répond pas. Elle lui laisse un message et s’endort.
Elle n’entendra pas son appel quelques minutes plus tard. Le lendemain matin
elle découvre son message. Celui-ci dit qu’il part pour la Thaïlande. Voyage
dont il n’avait pas osé lui parler.
Leur
situation professionnelle n’engendre point une relation suivie de tous les jours. Le temps passe,
leur rencontre se font par monts et par vaux, jusqu’au jour où Guillaume
demande à Raphaëlle de l’épouser. S’ensuivra un beau mariage avec quelques compromissions, Raphaëlle
continuera à faire du cinéma, c’est sa seconde passion après son Prince.
Une
année passe ainsi et les séparations pèsent de plus en plus sur Raphaëlle. Il
lui faut prendre un avion pour retrouver Guillaume, l’espace seulement des fois d’une seule journée. Elle
en a assez de cette vie, c’est décidé, elle arrête de tourner pour se consacrer
à son Prince et à la Principauté.
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Son
dernier film terminé, dont le tournage était aux Antilles, elle fait une
déclaration à la presse sur son souhait de changer de vie. Elle prend un avion
et se rend chez elle, toute heureuse de retrouver son mari. Son Altesse n’est
pas là. Il est une fois de plus en voyage diplomatique. « Ah oui, c’est
vrai ! » Dit-elle au
majordome. Elle défait ses bagages,
prend une douche et s’installe confortablement au salon. Elle attend le soir
pour appeler Guillaume. Pas de réponse, elle lui laisse un message pour lui
annoncer qu’elle renonce à son métier.
Le
lendemain matin, point d’appel de Guillaume ni de message. Il doit être très
occupé, pense-t-elle. Deux jours se passent sans nouvelle de son Prince. Elle
est inquiète et en parle au Majordome. « Ne vous inquiétez,
Princesse » lui dit-il avec une drôle de tête. Il revient demain.
Le
lendemain, Guillaume arrive au Palais. Il est tard dans la soirée. Elle s’est
fait radieuse afin de l’accueillir, mais Guillaume, fatigué, lui dépose un baiser sur la joue et lui
dit : « Je vais me coucher ». Raphaëlle se sent très frustrée
mais comprend et se dit qu’il ira mieux le lendemain matin. Quand Raphaëlle se
réveille, Guillaume a déjà quitté le lit ; il est dans son bureau et
travaille.
Sa
Princesse veut entamer une conversation, elle veut lui demander s’il a bien eu
son message lui annonçant sa rupture avec le cinéma, mais Guillaume ne veut pas
être dérangé. Raphaëlle pense de suite que cela ne lui ressemble pas. A-t-il
des soucis où a-t-il une liaison ? Les absentes nombreuses et prolongées
de Raphaëlle ont fait peut-être qu’il s’est détaché d’elle.
Un
frisson parcours son joli corps. Elle a une rivale, pense-t-elle. Pas étonnant que le
Majordome faisait une drôle de tête, il doit savoir quelque chose, lui.
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Elle
le lui demande : « Dîtes-moi, Charles, suis-je la bienvenue dans ce
palais ?
« Bien
sûr que oui, Princesse ».
« Ce
n’est pas l’effet que cela m’a fait hier soir, ni même encore ce matin ».
« Vous
vous faîtes des idées, Princesse. Le Prince va très bien. IL faut lui laisser
le temps de s’habituer à votre présence, vous étiez tant absente ».
Raphaëlle
se dit que Guillaume et elle pourront avoir une conversation au cours du repas
de midi, mais le Prince a un rendez-vous en ville, un rendez-vous qui ne
l’intéresserait guère, elle n’est pas conviée à l’accompagner.
Elle
en est presque dépitée. Elle ne reconnaît plus son Guillaume. Pour se changer
les idées, elle pense à aller faire un tour, histoire de connaître mieux la
principauté. Elle s’habille de façon à ce qu’elle ne soit pas reconnue dans les
rues. Elle fait quelques magasins, s’achète quelques vêtements, boit un thé
dans un salon et rentre au Palais. Le Prince n’est pas revenu de son
rendez-vous. Etait-ce un rendez-vous d’affaire ou un rendez-vous galant ? Raphaëlle
prend peur, et sent son couple partir en vrille.
Au
cours du dîner, elle demande à participer à la vie de la Principauté, à
l’accompagner dans ses déplacements. Elle veut se consacrer à son couple et
envisage d’avoir un enfant. Guillaume ne saute pas de joie.
« Un
enfant, c’est la consécration d’un amour, non ? »
Et
là, tout s’écroule.
« Tu aurais du abandonner ton
métier pour pouvoir te consacrer à ton rôle de princesse et de future
mère ».
« Mais
je l’ai fait ! Et puis nous en avions convenu, j’étais actrice et toi
Prince »
« Oui, mais ….».
«
Tu veux dire que c’est trop tard. Y aurait-il une autre Princesse dans ton
cœur ? » Lui demanda Raphaëlle toute tremblante, connaissant la
réponse d’avance.
« Oui »
« Tu
vois, moi, pendant mes déplacements pour les tournages, je n’ai rencontré
personne d’autre et surtout je n’ai pas essayé. Je suis resté fidèle parce que
toi seul comptait, Je vois qu’il n’en a pas été de même pour toi ».
« Et
c’est qui cette femme, voleuse de mari ? »
« Peut importe tu ne la connais
pas, elle n’est pas d’ici ».
«
Et puis je m’en fiche. Saute qui tu voudras. Je retourne à Paris ».
Raphaëlle
quitte la table, tourne les talons, et les larmes aux yeux s’en va faire ses
bagages. Elle ne restera pas une minute de plus dans cette demeure de malheur.
Elle appelle un taxi pour se rendre à l’aéroport y attendre l’opportunité de
pouvoir prendre un avion.
Le
lendemain, elle est à Paris et retrouve son appartement, qu’elle n’a pas encore
mis en vente, heureusement. Elle contacte son agent pour lui dire qu’elle est
de retour, définitivement.
Elle
reprend donc le cours de sa vie et par bonheur un film se présente à elle, le
tournage doit se passer en Italie.
Sa
séparation fait grand bruit dans la Principauté. Qui est cette Princesse qui
quitte son mari et ses devoirs ? Les journaux en font leur grand titre, un
peu partout en Europe. Elle décide donc d’organiser une conférence de presse
pour mettre les choses au point afin de démentir ce que racontent les
journalistes.
Devant
son téléviseur, Guillaume, regarde et écoute, assez ému d’ailleurs. Une voix
féminine lui dit :
« Es-tu
sûr de ce que tu veux, maintenant ? Cette histoire ne va pas arranger tes affaires. Un Prince qui quitte son épouse parce qu’il a engrossé une
connaissance, ça va faire désordre ».
« TAIS TOI ! »
« Pour
tout de dire, elle a un autre standing que moi. Elle a une tête et une allure
de Princesse, elle, pas moi ».
Sur
ce, Guillaume quitte la pièce et va s’enfermer dans son bureau.
A
quoi, pense-t-il ? A-t-il des remords ? A-t-il fait le bon
choix ? Il semble complètement perdu. Oui, pendant l’absence de sa femme,
il l’a trompée juste une fois, allumé par une femme au cours d’une soirée entre
amis. Des sentiments d’une nuit,
uniquement sexuels, ont bouleversé sa vie, et quand on est Prince, on se retrouve en fâcheuse position.
Il
réfléchit, mais à quoi ?
Au
fait, qui est cette rencontre d’une soirée. Elle est Rolande, tout simplement
Rolande, une fille de rien, qui a su jouer de ses charmes pour attirer le
Prince dans son lit, et ce bêta s’est laissé prendre au piège.
Guillaume
a dormi dans son bureau, Son réveil est dur tant il se sent anéanti, avec une
perspective de vie qui ne pourrait lui convenir, avec une femme qu’il n’aime
pas, et dont la liaison fait déjà
scandale. Comment se sortir de ce mauvais pas ? Il ne sait pas.
Ne
lui vient pas du tout à l’idée de proposer de l’argent à Rolande pour qu’elle
élève son enfant loin d’ici, ou pour se faire avorter. Non, il a trop de
conscience pour cela.
Dans
le courant de la journée, Rolande lui dit qu’elle a rendez-vous chez le
gynécologue. Guillaume lui propose de l’accompagner. Elle refuse.
« Pourquoi ? Je suis
quand même en droit de savoir où en est ta grossesse ? »
« Mais
c’est le tout début, y a pas à s’inquiéter ! Pardon, il n’ y a pas à
s’inquiéter. »
« Comme tu voudras »
Le
soir :
« Alors, tout se passe bien,
demande le Prince ? «
« Oui »
Le
sujet est clos.
Le
lendemain, une idée trotte dans la tête de Guillaume. Il appelle tous les
gynécologues de la Principauté pour savoir vraiment si Rolande a consulté. Aucun
d’entre eux n’a vu Rolande, pas même celui qu’il lui avait conseillé.
Le
soir :
« Au fait, c’est qui ton
gynécologue ? »
« Ben,
celui que tu m’as dit »
« Non seulement tu ne parles pas
bien mais tu es une menteuse, Tu n’as vu aucun docteur. Tu peux
m’expliquer ? »
« Voilà,
j’ai fait le pari avec une copine que je te ferais divorcer pour que tu
m’épouses. »
« Tu es une grande malade, ma pauvre fille. Quitte le Palais sur
le champ, je te ferai livrer tes affaires ».
Guillaume
est soulagé, mais comment va-t-il s’y prendre pour reconquérir Raphaëlle ?
Elle ne voudra sûrement plus de lui. Il l’appelle sur son portable mais sa
femme est en plein tournage. Il laisse ce message laconique
« C’est
moi ».
Le
soir, Raphaëlle trouve bien évidemment ce message et se demande quel en est son
sens mais elle ne fit rien. Guillaume attendait pourtant son appel. Il décide
d’en terminer avec cette histoire et organise, lui aussi, une conférence de
presse. Il expie sa faute, marque ses grands regrets en insistant sur le fait
qu’il sera, dorénavant sans défaut.
Raphaëlle,
dans sa chambre d’hôtel, regarde et écoute son intervention à la télévision,
mais ne semble pas émue le moins du monde. C’est bien fait, pense-t-elle. Le
lendemain, sur le tournage, au cours d’une pause, sans le vouloir, elle pense à
son Prince. Et le soir aussi. Et le lendemain matin et au cours de la journée,
et celles qui suivent, d’autant que Guillaume laisse tous les jours ce message
sur son portable :
« C’est moi ».
C’est
un appel au secours, un repenti. Elle s’imagine son Prince malheureux comme un
chien, tournant en rond dans son palais.
Mais peut-elle avoir confiance en un coureur de mauvais jupons.
Un
soir au cours d’un dîner dans un Ristorante
de la Via Claudia, restaurant qui évoque un bistrot Parisien mais dont la
cuisine est résolument Italienne. Raphaëlle semble soucieuse et triste. Sa
collègue de tournage, une toute jeune actrice montante, cette dernière
lui demande ce qu’elle a.
«
Imagine toi que mon prince Charmant veut que je revienne. »
« Tu
pourrais lui donner une seconde chance »
«
Bien sûr que je peux, mais s’il recommence, je fais quoi, moi ? »
A
ce moment de la discussion, le portable de Fleur tintinne dans son sac à main.
« C’est
lui », dit-elle.
« Allez,
réponds lui ! »
« NON.
Tu vas voir, il va laisser le même message que tous les jours
précédents ».
Effectivement
Raphaëlle reçoit et lit un message : « Reviens ».
« Tiens :!
Cela se précise ! » Dit Raphaëlle « Et il pourrait dire s’il te
plait ! ».
Le
tournage se poursuit, les messages de Guillaume aussi. Reviens se transforme en
je t’aime.
Puis,
un matin, les "je t’aime" se transforment en j’arrive. Comment ça il
arrive !
Raphaëlle
est presque prise de panique. Partagée entre bonheur et colère ; elle se
demande s’il va la surprendre en plein tournage ou à son hôtel. Exitée à l’idée
de revoir l’homme de sa vie, le tournage d’une scène de réconciliation devant
la fontaine de Trévise la perturbe quelque peu.
La
scène doit se rejouer plusieurs avant le clac final. Le tournage terminé, elle
rejoint son hôtel afin de se changer avant d’aller dîner avec sa compagne de
travail.
Elle
prend une douche, se fait belle et piaffe d’impatience. On frappe à sa
porte : mon Dieu, c’est lui ! Se dit-elle. Elle va ouvrir, mais ce
n’est pas Guillaume, c’est le garçon d’étage qui lui tend un papier. Elle
le remercie, referme la porte et
s’empresse de lire :
Je suis au bar, viens
me rejoindre, s’il te plait. Je t’offre un verre et on discute, je veux m’expliquer.
Je t’aime.
Comment
est-il sûr que je vais descendre, se dit Raphaëlle. Je me fiche de ses
explications. Il m’a fait énormément souffrir et je ne suis pas encline à
connaître à nouveau pareille mésaventure.
Puis,
pourquoi me suis-je mis sur mon trente et un pour aller dîner ? Pourquoi
me suis-je fait la coiffure qu’il préfère ?
Sur
ce on frappe à nouveau à la porte. Mince, c’est lui ! Elle va ouvrir et ce
n’est toujours pas Guillaume, c’est Coralie qui vient la chercher pour aller
dîner.
« Il
est en bas, il m’attends au bar ».
« Eh
bien, vas-y ! »
« Tu
crois ? »
« Je
suppose que ce n’est pas pour moi que tu t’es faite aussi belle et
élégante ? »
« Descends
lui dire de monter, je préfère ».
« J’y
vais et je vais me faire mon petite resto toute seule ».
Quelques
instants plus tard, on frappe à la porte. Raphaëlle est dans tous ses états.
Elle ouvre la porte, et ce n’est toujours pas Son Prince. C’est Coralie.
« Il
veut te voir en bas avant ».
«
Bon j’y vais ».
« Ah,
quand même ! »
L’ascenseur
arrive au rez-de-chaussée juste en face le bar. Guillaume est là, accoudé sur le zinc, en grande discussion avec
une super nana, une grande brune, yeux noirs hyper maquillés, rouge à lèvres
couleur cerise sur lèvres très pulpeuses. Elle est vêtue, comment dire … jupe
très courte, très courte même, petit
haut qui ne cache pas grand-chose, collant résilles et bottes cuissardes, la
fille tape à l’œil qui s’agenouille plus facilement que sur la place Saint
Pierre.
Raphaëlle
n’en croit pas ses beaux yeux verts, elle appuie sur le bouton du troisième
étage pour retourner dans sa chambre. Guillaume est un
incorrigible Don Juan mais là, c’en est de trop.Elle se jette sur son lit et
pleure.
Pendant
ce temps-là, le Prince se demande bien
ce que Raphaëlle fait. Elle n’est toujours pas descendue ; il décide donc
de monter. Il frappe à la porte de Raphaëlle, mais celle-ci n’ouvre pas, elle
est effondrée de chagrin. Guillaume frappe à nouveau, il tambourine même, mais
la porte ne s’ouvre pas.
« Rapha, ouvre moi ! » Il l’a supplie
plusieurs, mais la porte ne s’ouvre toujours pas.
Dépité
Guillaume quitte l’hôtel tout en se demandant pourquoi Rapha a tout soudainement
refusé de le voir, d’autant que Coralie s’était permise de lui dire qu’elle
descendait. Le lendemain matin, il l’appelle sur son portable, et comme sa
Princesse ne répond pas, il lui laisse un ultime message.
Pourquoi n’est tu pas
venu au bar hier soir ?
Pourquoi n’as-tu pas
voulu m’ouvrir ?
A
la lecture de ce message, Raphaëlle décide de l’appeler. Il répond : « A c’est toi, enfin ! »
« Oui
du con ! C’est moi et va te faire foutre ! » Et elle raccroche.
Guillaume est interloqué par cette réponse au langage quelque peu châtier. Elle
décide de lui laisser un SMS.
- Je
suis descendue pour te rejoindre au bar et je t’ai vu en compagnie d’une femme
pas sortie du beau monde.. Alors je me suis dit que s’il fallait que toute ma
vie, je me pose des questions de savoir si je suis cocue ou pas, je préfère
qu’on en reste là. Tu n’es plus mon Prince Charmant, Guillaume.
Tu
es un Don Juan d’opérette, un Roméo de
pacotille. Contacte ton avocat, je contacte le mien. Cette fois ci c’est fini,
Je te chasse de mon cœur et de mes pensées, pour me consacrer à mon travail,
qui en fait est ma seule raison de vivre.
Après
le tournage du film, Raphaëlle retournera à Paris, retrouvera ses amies filles et amis garçons,
retrouvera sa vie de célibataire. Il ne faut pas douter qu’un jour, un homme amoureux et sincère, ni Prince, ni
roi, ni Don Juan, ni Casanova, ne devienne l’Empereur de son cœur.
COPYRIGHT
❀ Hello et merci chère Claude pour ce texte que tu as si bien écrit.
RépondreSupprimerExcellent !!!!
GROS BISOUS d'Asie vers les Antilles !!!! ❀
La fille au bar, c'était sa soeur je parie ?
RépondreSupprimerTu es intarissable....
RépondreSupprimerC est bien écrit, le scénario est bon.C est une nouvelle que l on lit d une traite en attendant le dénouement. Le monde du cinéma est pervers, les princes charmant habitent les cœurs de chaque fille, alors pas étonnant qu ils soient très sollicités.J ai bien aimé
RépondreSupprimerBonne soirée Claude
Latil