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lundi 18 novembre 2013

De l'écran au Palais



Raphaëlle est comédienne et plus particulièrement actrice de cinéma. Avant de rencontrer l’homme de sa vie, elle la partageait entre plateaux, décors, extérieurs, projecteurs et des aventures amoureuses sans lendemain.

Raphaëlle n’est pas ce que qu’on peut appeler un canon de la beauté ni une  fille super sexy, non, elle a une beauté naturelle : de long cheveux châtains clairs, de beaux yeux verts, un petit nez à la retroussette et une bouche assez sensuelle.  Elle est juste belle, sans artifice ni maquillage à outrance.
Raphaëlle  est très demandée par les producteurs et metteurs en scène. Elle a du talent, gagne largement bien sa vie et habite un très bel appartement à Paris. Raphaëlle  à vingt huit ans.

Un jour de festival du cinéma, elle rencontre un homme dont elle tombe immédiatement et éperdument amoureuse. Ce sera lui, et pas un autre autre. Lui est charmé de suite par Raphaëlle ; il faut dire que ce jour là, elle est particulièrement ravissante et très séduisante.

Ils échangent quelques mots, et se donnent rendez-vous pour le dîner dans un petit restaurant discret dans un endroit tout aussi discret.  Ils se racontent leur vie et Raphaëlle, complètement subjuguée, apprend que Guillaume est Prince. Prince d’une petite Principauté située entre le Luxembourg et la France. Ce coup de foudre réciproque les amènera à passer leur première  nuit ensemble.

Le lendemain matin, Raphaëlle doit se rendre de bonne heure sur les lieux du tournage de son dernier film, loin de son Prince Charmant d’une nuit. Ils se quittent donc très tristes en s’échangeant leur numéro de portable et en se promettant de s’appeler le soir même.
Guillaume  est très prisée par la gente féminine, il a trente deux ans et est plutôt beau garçon. Un sourire enjôleur et une fossette au menton.
La charge de son titre l’amène à se rendre partout dans le monde. Lui, tout comme Raphaëlle de chez elle, est souvent absent de sa Principauté.

Le soir venu, Raphaëlle, au lit, exténuée par sa journée de tournage, appelle Guillaume, mais celui-ci ne répond pas. Elle lui laisse un message et s’endort. Elle n’entendra pas son appel quelques minutes plus tard. Le lendemain matin elle découvre son message. Celui-ci dit qu’il part pour la Thaïlande. Voyage dont il n’avait pas osé lui parler.

Leur situation professionnelle n’engendre point une relation  suivie de tous les jours. Le temps passe, leur rencontre se font par monts et par vaux, jusqu’au jour où Guillaume demande à Raphaëlle de l’épouser. S’ensuivra un beau mariage  avec quelques compromissions, Raphaëlle continuera à faire du cinéma, c’est sa seconde passion après son Prince.
Une année passe ainsi et les séparations pèsent de plus en plus sur Raphaëlle. Il lui faut prendre un avion pour retrouver Guillaume, l’espace  seulement des fois d’une seule journée. Elle en a assez de cette vie, c’est décidé, elle arrête de tourner pour se consacrer à son Prince et à la Principauté.
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Son dernier film terminé, dont le tournage était aux Antilles, elle fait une déclaration à la presse sur son souhait de changer de vie. Elle prend un avion et se rend chez elle, toute heureuse de retrouver son mari. Son Altesse n’est pas là. Il est une fois de plus en voyage diplomatique. « Ah oui, c’est vrai ! »  Dit-elle au majordome.  Elle défait ses bagages, prend une douche et s’installe confortablement au salon. Elle attend le soir pour appeler Guillaume. Pas de réponse, elle lui laisse un message pour lui annoncer qu’elle renonce à son métier.

Le lendemain matin, point d’appel de Guillaume ni de message. Il doit être très occupé, pense-t-elle. Deux jours se passent sans nouvelle de son Prince. Elle est inquiète et en parle au Majordome. « Ne vous inquiétez, Princesse » lui dit-il avec une drôle de tête. Il revient demain.

Le lendemain, Guillaume arrive au Palais. Il est tard dans la soirée. Elle s’est fait radieuse afin de l’accueillir, mais Guillaume, fatigué,  lui dépose un baiser sur la joue et lui dit : « Je vais me coucher ». Raphaëlle se sent très frustrée mais comprend et se dit qu’il ira mieux le lendemain matin. Quand Raphaëlle se réveille, Guillaume a déjà quitté le lit ; il est dans son bureau et travaille.
Sa Princesse veut entamer une conversation, elle veut lui demander s’il a bien eu son message lui annonçant sa rupture avec le cinéma, mais Guillaume ne veut pas être dérangé. Raphaëlle pense de suite que cela ne lui ressemble pas. A-t-il des soucis où a-t-il une liaison ? Les absentes nombreuses et prolongées de Raphaëlle ont fait peut-être qu’il s’est détaché d’elle.
Un frisson parcours son joli corps. Elle a une rivale, pense-t-elle. Pas étonnant que le Majordome faisait une drôle de tête, il doit savoir quelque chose, lui.
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Elle le lui demande : « Dîtes-moi, Charles, suis-je la bienvenue dans ce palais ?
« Bien sûr que oui, Princesse ».
« Ce n’est pas l’effet que cela m’a fait hier soir, ni même encore ce matin ».
« Vous vous faîtes des idées, Princesse. Le Prince va très bien. IL faut lui laisser le temps de s’habituer à votre présence, vous étiez tant absente ».

Raphaëlle se dit que Guillaume et elle pourront avoir une conversation au cours du repas de midi, mais le Prince a un rendez-vous en ville, un rendez-vous qui ne l’intéresserait guère, elle n’est pas conviée à l’accompagner.

Elle en est presque dépitée. Elle ne reconnaît plus son Guillaume. Pour se changer les idées, elle pense à aller faire un tour, histoire de connaître mieux la principauté. Elle s’habille de façon à ce qu’elle ne soit pas reconnue dans les rues. Elle fait quelques magasins, s’achète quelques vêtements, boit un thé dans un salon et rentre au Palais. Le Prince n’est pas revenu de son rendez-vous. Etait-ce un rendez-vous d’affaire ou un rendez-vous galant ? Raphaëlle prend peur, et sent son couple partir en vrille.

Au cours du dîner, elle demande à participer à la vie de la Principauté, à l’accompagner dans ses déplacements. Elle veut se consacrer à son couple et envisage d’avoir un enfant. Guillaume ne saute pas de joie.
« Un enfant, c’est la consécration d’un amour, non ? »
Et là, tout s’écroule.
« Tu aurais du abandonner ton métier pour pouvoir te consacrer à ton rôle de princesse et de future mère ».
« Mais je l’ai fait ! Et puis nous en avions convenu, j’étais actrice et toi Prince »
« Oui, mais ….».
«  Tu veux dire que c’est trop tard. Y aurait-il une autre Princesse dans ton cœur ? » Lui demanda Raphaëlle toute tremblante, connaissant la réponse d’avance.
« Oui »
« Tu vois, moi, pendant mes déplacements pour les tournages, je n’ai rencontré personne d’autre et surtout je n’ai pas essayé. Je suis resté fidèle parce que toi seul comptait, Je vois qu’il n’en a pas été de même pour toi ».
« Et c’est qui cette femme, voleuse de mari ? »
« Peut importe tu ne la connais pas, elle n’est pas d’ici ».
« Et puis je m’en fiche. Saute qui tu voudras. Je retourne à Paris ».
Raphaëlle quitte la table, tourne les talons, et les larmes aux yeux s’en va faire ses bagages. Elle ne restera pas une minute de plus dans cette demeure de malheur. Elle appelle un taxi pour se rendre à l’aéroport y attendre l’opportunité de pouvoir prendre un avion.

Le lendemain, elle est à Paris et retrouve son appartement, qu’elle n’a pas encore mis en vente, heureusement. Elle contacte son agent pour lui dire qu’elle est de retour, définitivement.
Elle reprend donc le cours de sa vie et par bonheur un film se présente à elle, le tournage doit se passer en Italie.
Sa séparation fait grand bruit dans la Principauté. Qui est cette Princesse qui quitte son mari et ses devoirs ? Les journaux en font leur grand titre, un peu partout en Europe. Elle décide donc d’organiser une conférence de presse pour mettre les choses au point afin de démentir ce que racontent les journalistes.

Devant son téléviseur, Guillaume, regarde et écoute, assez ému d’ailleurs. Une voix féminine lui dit :
« Es-tu sûr de ce que tu veux, maintenant ? Cette histoire ne va pas arranger tes affaires. Un Prince qui quitte son épouse parce qu’il a engrossé une connaissance, ça va faire désordre ».
« TAIS TOI !  »
« Pour tout de dire, elle a un autre standing que moi. Elle a une tête et une allure de  Princesse, elle, pas moi ».
Sur ce, Guillaume quitte la pièce et va s’enfermer dans son bureau.
A quoi, pense-t-il ? A-t-il des remords ? A-t-il fait le bon choix ? Il semble complètement perdu. Oui, pendant l’absence de sa femme, il l’a trompée juste une fois, allumé par une femme au cours d’une soirée entre amis.  Des sentiments d’une nuit, uniquement sexuels, ont bouleversé sa vie, et quand on est Prince,  on se retrouve en fâcheuse position.
Il réfléchit, mais à quoi ?

Au fait, qui est cette rencontre d’une soirée. Elle est Rolande, tout simplement Rolande, une fille de rien, qui a su jouer de ses charmes pour attirer le Prince dans son lit, et ce bêta s’est laissé prendre au piège.
Guillaume a dormi dans son bureau, Son réveil est dur tant il se sent anéanti, avec une perspective de vie qui ne pourrait lui convenir, avec une femme qu’il n’aime pas,  et dont la liaison fait déjà scandale. Comment se sortir de ce mauvais pas ? Il ne sait pas.
Ne lui vient pas du tout à l’idée de proposer de l’argent à Rolande pour qu’elle élève son enfant loin d’ici, ou pour se faire avorter. Non, il a trop de conscience pour cela.

Dans le courant de la journée, Rolande lui dit qu’elle a rendez-vous chez le gynécologue. Guillaume lui propose de l’accompagner. Elle refuse.
« Pourquoi ?  Je suis quand même en droit de savoir où en est ta grossesse ? »
« Mais c’est le tout début, y a pas à s’inquiéter ! Pardon, il n’ y a pas à s’inquiéter. »
« Comme tu voudras »
Le soir :
« Alors, tout se passe bien, demande le Prince ? « 
« Oui »
Le sujet est clos.

Le lendemain, une idée trotte dans la tête de Guillaume. Il appelle tous les gynécologues de la Principauté pour savoir vraiment si Rolande a consulté. Aucun d’entre eux n’a vu Rolande, pas même celui qu’il lui avait conseillé.
Le soir :
« Au fait, c’est qui ton gynécologue ? »
« Ben, celui que tu m’as dit »
« Non seulement tu ne parles pas bien mais tu es une menteuse, Tu n’as vu aucun docteur. Tu peux m’expliquer ? »
« Voilà, j’ai fait le pari avec une copine que je te ferais divorcer pour que tu m’épouses. »
« Tu es une grande  malade, ma pauvre fille. Quitte le Palais sur le champ, je te ferai livrer tes affaires ».

Guillaume est soulagé, mais comment va-t-il s’y prendre pour reconquérir Raphaëlle ? Elle ne voudra sûrement plus de lui. Il l’appelle sur son portable mais sa femme est en plein tournage. Il laisse ce message laconique
« C’est moi ».

Le soir, Raphaëlle trouve bien évidemment ce message et se demande quel en est son sens mais elle ne fit rien. Guillaume attendait pourtant son appel. Il décide d’en terminer avec cette histoire et organise, lui aussi, une conférence de presse. Il expie sa faute, marque ses grands regrets en insistant sur le fait qu’il sera, dorénavant sans défaut.

Raphaëlle, dans sa chambre d’hôtel, regarde et écoute son intervention à la télévision, mais ne semble pas émue le moins du monde. C’est bien fait, pense-t-elle. Le lendemain, sur le tournage, au cours d’une pause, sans le vouloir, elle pense à son Prince. Et le soir aussi. Et le lendemain matin et au cours de la journée, et celles qui suivent, d’autant que Guillaume laisse tous les jours ce message sur son portable :
 « C’est moi ».

C’est un appel au secours, un repenti. Elle s’imagine son Prince malheureux comme un chien, tournant en rond dans son  palais. Mais peut-elle avoir confiance en un coureur de mauvais jupons.
Un soir au cours d’un dîner dans un  Ristorante de la Via Claudia, restaurant qui évoque un bistrot Parisien mais dont la cuisine est résolument Italienne. Raphaëlle semble soucieuse et triste. Sa collègue de tournage, une toute jeune actrice montante, cette dernière  lui demande ce qu’elle a.
«  Imagine toi que mon prince Charmant veut que je revienne. »
« Tu pourrais lui donner une seconde chance »
«  Bien sûr que je peux, mais s’il recommence, je fais quoi, moi ? »
A ce moment de la discussion, le portable de Fleur tintinne dans son sac à main.
« C’est lui », dit-elle.
« Allez, réponds lui ! »
« NON. Tu vas voir, il va laisser le même message que tous les jours précédents ».
Effectivement Raphaëlle reçoit et lit un message   : « Reviens ».
« Tiens :! Cela se précise ! » Dit Raphaëlle « Et il pourrait dire s’il te plait ! ».

Le tournage se poursuit, les messages de Guillaume aussi. Reviens se transforme en je t’aime.
Puis, un matin, les "je t’aime" se transforment en j’arrive. Comment ça il arrive !
Raphaëlle est presque prise de panique. Partagée entre bonheur et colère ; elle se demande s’il va la surprendre en plein tournage ou à son hôtel. Exitée à l’idée de revoir l’homme de sa vie, le tournage d’une scène de réconciliation devant la fontaine de Trévise la perturbe quelque peu.


La scène doit se rejouer plusieurs avant le clac final. Le tournage terminé, elle rejoint son hôtel afin de se changer avant d’aller dîner avec sa compagne de travail.

Elle prend une douche, se fait belle et piaffe d’impatience. On frappe à sa porte : mon Dieu, c’est lui ! Se dit-elle. Elle va ouvrir, mais ce n’est pas Guillaume, c’est le garçon d’étage qui lui tend un papier. Elle le  remercie, referme la porte et s’empresse de lire :
Je suis au bar, viens me rejoindre, s’il te plait. Je t’offre un verre et on discute, je veux m’expliquer. Je t’aime.

Comment est-il sûr que je vais descendre, se dit Raphaëlle. Je me fiche de ses explications. Il m’a fait énormément souffrir et je ne suis pas encline à connaître à nouveau pareille mésaventure.
Puis, pourquoi me suis-je mis sur mon trente et un pour aller dîner ? Pourquoi me suis-je fait la coiffure qu’il préfère ?
Sur ce on frappe à nouveau à la porte. Mince, c’est lui ! Elle va ouvrir et ce n’est toujours pas Guillaume, c’est Coralie qui vient la chercher pour aller dîner.
« Il est en bas, il m’attends au bar ».
« Eh bien, vas-y ! »
« Tu crois ? »
« Je suppose que ce n’est pas pour moi que tu t’es faite aussi belle et élégante ? »
« Descends lui dire de monter, je préfère ».
« J’y vais et je vais me faire mon petite resto toute seule ».

Quelques instants plus tard, on frappe à la porte. Raphaëlle est dans tous ses états. Elle ouvre la porte, et ce n’est toujours pas Son Prince. C’est Coralie.
« Il veut te voir en bas avant ».
«  Bon j’y vais ».
« Ah, quand même ! »

L’ascenseur arrive au rez-de-chaussée juste en face le bar. Guillaume est là,  accoudé sur le zinc, en grande discussion avec une super nana, une grande brune, yeux noirs hyper maquillés, rouge à lèvres couleur cerise sur lèvres très pulpeuses. Elle est vêtue, comment dire … jupe très courte,  très courte même, petit haut qui ne cache pas grand-chose, collant résilles et bottes cuissardes, la fille tape à l’œil qui s’agenouille plus facilement que sur la place Saint Pierre.

Raphaëlle n’en croit pas ses beaux yeux verts, elle appuie sur le bouton du troisième étage pour retourner dans sa chambre.   Guillaume est un incorrigible Don Juan mais là, c’en est de trop.Elle se jette sur son lit et pleure.
Pendant ce temps-là,  le Prince se demande bien ce que Raphaëlle fait. Elle n’est toujours pas descendue ; il décide donc de monter. Il frappe à la porte de Raphaëlle, mais celle-ci n’ouvre pas, elle est effondrée de chagrin. Guillaume frappe à nouveau, il tambourine même, mais la porte ne s’ouvre pas.
« Rapha, ouvre moi ! »  Il l’a supplie plusieurs, mais la porte ne s’ouvre toujours pas.

Dépité Guillaume quitte l’hôtel tout en se demandant pourquoi Rapha a tout soudainement refusé de le voir, d’autant que Coralie s’était permise de lui dire qu’elle descendait. Le lendemain matin, il l’appelle sur son portable, et comme sa Princesse ne répond pas, il lui laisse un ultime message.
Pourquoi n’est tu pas venu au bar hier soir ?
Pourquoi n’as-tu pas voulu m’ouvrir ?

A la lecture de ce message, Raphaëlle décide de l’appeler. Il répond : « A c’est toi, enfin ! »
« Oui du con ! C’est moi et va te faire foutre ! » Et elle raccroche. Guillaume est interloqué par cette réponse au langage quelque peu châtier. Elle décide de lui laisser un SMS.

- Je suis descendue pour te rejoindre au bar et je t’ai vu en compagnie d’une femme pas sortie du beau monde.. Alors je me suis dit que s’il fallait que toute ma vie, je me pose des questions de savoir si je suis cocue ou pas, je préfère qu’on en reste là. Tu n’es plus mon Prince Charmant, Guillaume.
Tu es un Don  Juan d’opérette, un Roméo de pacotille. Contacte ton avocat, je contacte le mien. Cette fois ci c’est fini, Je te chasse de mon cœur et de mes pensées, pour me consacrer à mon travail, qui en fait est ma seule raison de vivre. 

Après le tournage du film, Raphaëlle retournera à Paris, retrouvera ses amies filles et amis garçons, retrouvera sa vie de célibataire. Il ne faut pas douter qu’un jour,  un homme amoureux et sincère, ni Prince, ni roi, ni Don Juan, ni Casanova, ne devienne l’Empereur de son cœur.

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4 commentaires:

  1. ❀ Hello et merci chère Claude pour ce texte que tu as si bien écrit.
    Excellent !!!!
    GROS BISOUS d'Asie vers les Antilles !!!! ❀

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  2. La fille au bar, c'était sa soeur je parie ?

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  3. C est bien écrit, le scénario est bon.C est une nouvelle que l on lit d une traite en attendant le dénouement. Le monde du cinéma est pervers, les princes charmant habitent les cœurs de chaque fille, alors pas étonnant qu ils soient très sollicités.J ai bien aimé
    Bonne soirée Claude
    Latil

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